Retour
Taux d’intérêt
Les intérêts désignent le prix qu’il faut payer pour emprunter de l’argent, ou la somme perçue par le prêteur en contrepartie de son offre de prêt. Généralement, le calcul de cette rémunération se fait par l’application d’un taux proportionnel au capital emprunté ou taux d’intérêt. Par exemple, un emprunt de 150000 € pour une durée de remboursement de 20 ans, avec un taux d’intérêt de 5 %, entraîne des intérêts s’élevant à 7500 €.
La fixation du taux d’intérêt se fait suivant une logique relativement simple. Plus un projet immobilier présente un risque avéré, plus la prime pour couvrir le prêteur augmente. Parmi les risques figurent le défaut de paiement (non-remboursement de l’emprunt) et la volatilité du marché immobilier.
L’assurance emprunteur ne constitue pas officiellement une obligation pour un crédit immobilier, mais en souscrire une permet de parer à toute éventualité, notamment le décès, l’incapacité et l’invalidité. Il faut aussi noter qu’aucune banque n’acceptera quasiment jamais de délivrer un prêt sans assurance. Pour déterminer les frais occasionnés par le prêt, il faut se référer au taux annuel effectif global (TAEG). Ce taux constitue un barème fiable pour comparer les offres de prêt.
Trois types de taux d’intérêt sont possibles dans le cadre d’un achat d’un bien immobilier :
Un achat immobilier nécessite également de bien évaluer son budget en calculant son taux d’endettement. Celui-ci définit la part des revenus nets mensuels que l’emprunteur peut payer pour le remboursement de son crédit immobilier. Le calcul se fait à l’aide de la formule suivante : Taux d’endettement = (Montant des mensualités + charges fixes) x 100/Total des revenus mensuels.
Le Haut conseil de stabilité financière (HCSF) recommande un taux d’endettement maximum de 35 %. L’emprunteur peut cependant négocier avec la banque s’il souhaite relever ce taux.
Si vous voulez en savoir plus sur l'assurance emprunteur :
La fixation du taux d’intérêt se fait suivant une logique relativement simple. Plus un projet immobilier présente un risque avéré, plus la prime pour couvrir le prêteur augmente. Parmi les risques figurent le défaut de paiement (non-remboursement de l’emprunt) et la volatilité du marché immobilier.
L’assurance emprunteur ne constitue pas officiellement une obligation pour un crédit immobilier, mais en souscrire une permet de parer à toute éventualité, notamment le décès, l’incapacité et l’invalidité. Il faut aussi noter qu’aucune banque n’acceptera quasiment jamais de délivrer un prêt sans assurance. Pour déterminer les frais occasionnés par le prêt, il faut se référer au taux annuel effectif global (TAEG). Ce taux constitue un barème fiable pour comparer les offres de prêt.
Trois types de taux d’intérêt sont possibles dans le cadre d’un achat d’un bien immobilier :
- le taux fixe qui garantit le même taux d’intérêt tout au long de la durée du crédit ;
- le taux variable qui permet de bénéficier d’un taux complétif et évolutif en fonction du taux du marché ;
- le taux mixte (taux fixe appliqué sur les premières années de remboursement et taux variable pour les années suivantes).
Un achat immobilier nécessite également de bien évaluer son budget en calculant son taux d’endettement. Celui-ci définit la part des revenus nets mensuels que l’emprunteur peut payer pour le remboursement de son crédit immobilier. Le calcul se fait à l’aide de la formule suivante : Taux d’endettement = (Montant des mensualités + charges fixes) x 100/Total des revenus mensuels.
Le Haut conseil de stabilité financière (HCSF) recommande un taux d’endettement maximum de 35 %. L’emprunteur peut cependant négocier avec la banque s’il souhaite relever ce taux.
Si vous voulez en savoir plus sur l'assurance emprunteur :
La newsletter, c'est ici !
Pour tout savoir sur l'assurance emprunteur et pour obtenir des conseils sur votre projet immobilier.