Les guides pour arrêter de fumer, ce n’est pas ça qui manque. Il suffit d’effectuer une simple recherche du type « Comment arrêter de fumer » sur Internet pour tomber sur une pléthore de conseils à ce sujet, des plus classiques (« Faites du sport ») aux plus loufoques (« Faites-vous hypnotiser par un Chaman après avoir mangé un bol de lentilles aux carottes sous la pluie »).
La vérité, c’est qu’il n’existe pas UNE seule manière d’arrêter de fumer, ou une sorte de recette magique qui marcherait pour tous les fumeurs. A partir du moment où vous avez la volonté d’en finir avec le tabac, lancez-vous ! Il se peut que vous échouiez ? Oui, et alors ? Les études montrent qu’il faut en moyenne 4 essais pour venir à bout de cette dépendance.
Chaque tentative d’arrêt est une victoire en soi, puisqu’elle vous permet d’avancer sur le chemin de l’abstinence tabagique. En effet, même si le sevrage échoue, chacune de ces expériences d’arrêt vous permet de mieux comprendre les différents aspects de votre addiction. C’est une excellente façon d’identifier vos points faibles pour que, lors de la tentative suivante, vous ne tombiez plus dans les mêmes pièges (le café du matin, les situations de stress, les doutes etc.). En fait, arrêter de fumer, c’est apprendre à connaître comment fonctionne votre cerveau et ne plus le laisser vous manipuler.
Les substituts nicotiniques : oui, mais attention tout de même
Les substituts à base de nicotine peuvent être d’une grande aide pour arrêter de fumer, puisqu’ils augmenteraient vos chances de réussite de 50 % à 70 %. Et la bonne nouvelle, c’est qu’ils sont même pris en charge par l’Assurance Maladie (à hauteur de 65%), sur simple ordonnance. On les retrouve sous différentes formes : pastilles, patchs, gommes, sprays, etc. A vous de choisir celle qui vous convient le mieux !
Le principal avantage des substituts nicotiniques, c’est qu’ils permettent de faire les choses en douceur (ou presque). Plutôt de couper brutalement à votre cerveau l’accès à la nicotine contenue dans le tabac, laquelle est responsable de la dépendance physique des fumeurs, on commence d’abord par s’habituer à vivre sans une cigarette à la main. Car c’est cette routine, cette gestuelle répétée jour après jour (café = cigarette, pause boulot = cigarette, assis à une terrasse = cigarettes, etc) qui crée la dépendance la plus forte. En continuant à consommer de la nicotine, on sépare donc le moment du sevrage physique et psychologique.
Attention néanmoins à se servir de la nicotine comme d’une aide à l’arrêt, et pas comme d’un remplacement à la cigarette. Car tant que vous serez dépendant à la nicotine, le risque de vouloir fumer une cigarette sera toujours présent dans votre vie. Réduisez graduellement vos apports en nicotine à mesure que vous avancez dans le sevrage. Mais ne vous précipitez pas ! Et si vous sentez que vous flanchez, ré-augmentez les doses provisoirement.
Maintenant que vous savez qu’un fumeur paie moins cher son assurance emprunteur et qu’en plus, arrêter le tabac est à la portée de tout le monde, qu’attendez-vous pour rejoindre les 750 000 personnes qui arrêtent de fumer chaque année ? Si vous avez besoin de discuter et d’être aidé, n’hésitez pas à appeler Tabac Info Service au 3989, ils sauront vous accompagner dans votre arrêt du tabac. Et en plus, c’est un service gratuit.
Et si vous avez la moindre question à propos de l’assurance emprunteur en ligne pour les fumeurs, n’hésitez pas à contacter notre super team Assurly, par téléphone au 01 76 36 08 60 ou en nous envoyant directement un message. Sinon, prenez rendez-vous avec un de nos conseillers, on se fera un plaisir de bloquer un créneau pour vous.