Le pouvoir d’achat immobilier recule… sauf pour ceux qui optimisent leur assurance
Assurance prêt étudiant Guide prêt étudiant Taux assurance prêt étudiant Types de prêt étudiant Simuler économies assurance prêt étudiant Assurance prêt immobilier Assurer mon prêt immobilier Changer d’assurance de prêt immobilier Délégation d’assurance emprunteur Taux d’assurance de prêt immobilier Actualités Contact Espagnol Faire mon devis Le pouvoir d’achat immobilier recule… sauf pour ceux qui optimisent leur assurance Assurance emprunteur 12.12.2025 AccueilblogAssurance emprunteur Le pouvoir d’achat immobilier recule… sauf pour ceux qui optimisent leur assurance Linkedin Facebook Instagram Youtube Le marché immobilier français traverse une période paradoxale : alors que les taux d’intérêt retrouvent des niveaux plus attractifs qu’en 2023, le pouvoir d’achat immobilier continue de se contracter pour la majorité des ménages. Pourtant, une minorité avisée parvient à maintenir, voire améliorer sa capacité d’emprunt. Leur secret ? Une optimisation de l’assurance emprunteur qui transforme radicalement l’équation financière de leur projet. Cette dichotomie révèle une réalité méconnue : dans un contexte de hausse des prix et de durcissement des conditions bancaires, la différence entre réussir son projet immobilier et y renoncer se joue souvent sur quelques milliers d’euros. Et c’est précisément sur ce terrain que l’assurance de prêt immobilier devient un levier psychologique et financier déterminant. Sommaire Pourquoi votre cerveau vous empêche de voir l’évidence Le recul objectif du pouvoir d’achat immobilier L’assurance emprunteur : le levier caché de votre capacité d’achat Les stratégies concrètes pour optimiser votre assurance Les outils digitaux qui démocratisent l’optimisation Les erreurs psychologiques qui coûtent cher L’impact psychologique d’une assurance optimisée Les profils qui gagnent le plus à optimiser Les législations qui protègent votre pouvoir d’achat Passer à l’action : le mode d’emploi concret Les questions fréquentes qui révèlent nos blocages L’optimisation comme première brique de votre autonomie financière Optimisation à la réappropriation Pourquoi votre cerveau vous empêche de voir l’évidence L’angle mort cognitif de l’emprunteur Lorsqu’on se lance dans un projet d’achat immobilier, notre cerveau active ce que les psychologues appellent le « biais de saillance » : nous nous focalisons sur les éléments les plus visibles – le prix du bien, le taux d’intérêt, les frais de notaire – au détriment des coûts périphériques mais substantiels. L’assurance emprunteur représente pourtant le deuxième poste de dépense d’un crédit immobilier après les intérêts eux-mêmes. Sur un prêt de 200 000 € sur 20 ans, elle peut représenter entre 10 000 € et 36 000 € selon le contrat choisi. Cette différence de 26 000 € équivaut au prix d’une petite voiture ou à plusieurs années d’épargne pour un ménage moyen. Pourquoi cette négligence systématique ? Parce que l’assurance emprunteur souffre d’un déficit de « tangibilité psychologique ». Contrairement au bien immobilier que vous pouvez visiter, toucher, imaginer meublé, l’assurance reste abstraite jusqu’au jour – improbable – où vous en aurez besoin. Le piège de la facilité apparente Les banques ont parfaitement compris cette faille cognitive. En proposant leur assurance groupe dans le package global du prêt, elles exploitent notre besoin de simplicité. Accepter l’offre globale procure un soulagement immédiat : « C’est réglé, je peux passer à autre chose. » Ce réflexe est renforcé par ce que les économistes comportementaux nomment « l’aversion à la complexité ». Comparer des contrats d’assurance, décrypter des garanties, négocier avec sa banque… autant d’efforts cognitifs que notre cerveau cherche à éviter, surtout dans le contexte déjà stressant d’un achat immobilier. Selon une étude du Comité consultatif du secteur financier (CCSF), moins de 15 % des emprunteurs font jouer la concurrence sur leur assurance emprunteur au moment de souscrire leur prêt. Ce chiffre tombe à 6 % pour la délégation d’assurance, pourtant autorisée depuis la loi Lagarde de 2010. Le recul objectif du pouvoir d’achat immobilier Les chiffres qui font mal Les données de l’Observatoire Crédit Logement/CSA confirment une érosion continue du pouvoir d’achat immobilier. Entre 2021 et 2024, la capacité d’emprunt des ménages français a reculé en moyenne de 25 %. Concrètement, un ménage qui pouvait emprunter 200 000 € en 2021 ne peut plus prétendre qu’à 150 000 € aujourd’hui, à revenus constants. Cette contraction s’explique par plusieurs facteurs convergents : La hausse des taux d’intérêt, qui sont passés de 1 % à plus de 4 % entre début 2022 et fin 2023 L’application stricte du taux d’endettement maximal de 35 % imposé par le Haut Conseil de stabilité financière (HCSF) La hausse continue des prix de l’immobilier dans les zones tendues, malgré un léger ralentissement en 2024 L’inflation qui grignote le reste à vivre des ménages Le marché du crédit immobilier a connu une contraction significative ces dernières années, illustrant cette restriction d’accès à la propriété pour de nombreux ménages français. L’effet ciseau qui étrangle les primo-accédants Les primo-accédants sont les premières victimes de cette équation défavorable. Sans apport conséquent ni patrimoine existant, ils subissent de plein fouet le durcissement des conditions d’octroi de crédit. Marie, 32 ans, cadre dans le secteur tertiaire à Lyon, témoigne : « Avec mon conjoint, nous gagnons 4 500 € nets mensuels à deux. En 2021, nous aurions pu emprunter 250 000 € sur 25 ans. Aujourd’hui, les banques nous proposent 180 000 € maximum sur 20 ans. Nous avons dû revoir totalement notre projet, de l’achat d’une maison à celui d’un appartement plus petit et plus excentré. » Cette frustration psychologique est d’autant plus violente qu’elle touche des ménages relativement aisés, qui pensaient légitimement pouvoir accéder à la propriété. Le sentiment d’être « punis » malgré des parcours professionnels solides génère une anxiété financière durable. L’assurance emprunteur : le levier caché de votre capacité d’achat Comment l’assurance impacte directement votre dossier Voici un secret que peu d’emprunteurs connaissent : l’assurance de prêt immobilier entre dans le calcul de votre taux d’endettement. Ce n’est pas seulement un coût accessoire, c’est un élément qui peut faire basculer votre dossier du côté du refus ou de l’acceptation. Prenons un exemple concret. Vous souhaitez emprunter 200 000 € sur 20 ans avec un taux d’intérêt de 3,5 %. Votre mensualité de crédit (hors assurance) s’élève à 1 161 €. Avec une assurance groupe bancaire classique à 0,36 % sur le capital initial, vous paierez … Continued
Première acquisition jeune couple : l’assurance emprunteur expliquée simplement
Assurance prêt étudiant Guide prêt étudiant Taux assurance prêt étudiant Types de prêt étudiant Simuler économies assurance prêt étudiant Assurance prêt immobilier Assurer mon prêt immobilier Changer d’assurance de prêt immobilier Délégation d’assurance emprunteur Taux d’assurance de prêt immobilier Actualités Contact Espagnol Faire mon devis Première acquisition jeune couple : l’assurance emprunteur expliquée simplement Assurance emprunteur 04.12.2025 AccueilblogAssurance emprunteur Première acquisition jeune couple : l’assurance emprunteur expliquée simplement Linkedin Facebook Instagram Youtube Vous venez de trouver l’appartement parfait, celui où vous vous projetez déjà avec votre moitié. Les cartons de déménagement s’empilent mentalement, la couleur des murs est déjà choisie, et vous imaginez vos premières soirées dans votre propre salon. Mais voilà qu’un nouveau terme s’invite dans vos conversations : l’assurance emprunteur. Entre excitation et appréhension, vous vous demandez ce que cela implique vraiment pour votre projet commun. En tant que jeune couple franchissant le pas vers la propriété, vous n’êtes pas seuls face à ces interrogations. Chaque année, des milliers de primo-accédants découvrent que l’assurance de prêt immobilier représente bien plus qu’une simple formalité administrative. C’est une protection essentielle qui sécurise votre avenir à deux. Sommaire Pourquoi l’assurance emprunteur est-elle incontournable pour votre projet ? Les garanties essentielles : comprendre ce qui vous protège vraiment La quotité d’assurance : un choix stratégique pour votre couple Choisir entre assurance groupe et délégation : l’impact sur votre budget Les avantages du profil jeune emprunteur Assurly : la solution digitale adaptée aux jeunes couples Les spécificités du co-emprunt : emprunter à deux en toute sérénité Les étapes pratiques pour souscrire votre assurance Les erreurs à éviter absolument Témoignages : ils ont franchi le pas Anticiper l’évolution de votre situation Vos droits en tant qu’emprunteurs Votre premier pas vers la propriété, en toute sérénité Pourquoi l’assurance emprunteur est-elle incontournable pour votre projet ? La protection de votre couple face aux aléas de la vie Lorsque vous contractez un crédit immobilier en couple, vous vous engagez ensemble pour une durée souvent comprise entre 15 et 25 ans. Durant cette période, la vie peut réserver son lot de surprises : un accident, une maladie, une invalidité ou même un décès. L’assurance emprunteur intervient précisément dans ces moments difficiles pour prendre le relais du remboursement. Sans cette protection, le conjoint survivant ou valide devrait assumer seul l’intégralité des mensualités. Imaginez porter ce poids financier tout en traversant une épreuve personnelle majeure. C’est exactement ce scénario que l’assurance de prêt vient éviter. Une exigence bancaire qui protège toutes les parties Bien que légalement facultative, l’assurance emprunteur est systématiquement exigée par les établissements bancaires pour accorder un prêt immobilier. Cette exigence n’est pas une contrainte arbitraire : elle protège à la fois la banque contre les impayés et vous-même contre les situations qui compromettraient le remboursement. Pour les banques, un jeune couple représente un profil attractif mais qui comporte aussi des incertitudes. Vous débutez souvent votre vie professionnelle, votre épargne reste limitée, et votre historique financier est encore en construction. L’assurance devient alors la garantie qui rassure le prêteur et facilite l’obtention de votre financement. Les garanties essentielles : comprendre ce qui vous protège vraiment Les garanties de base obligatoires Toute assurance emprunteur comprend au minimum deux garanties fondamentales : La garantie décès : en cas de décès de l’un des emprunteurs, l’assureur rembourse la part du capital restant dû correspondant à la quotité assurée. Votre conjoint n’a plus à supporter cette charge financière dans un moment déjà bouleversant. La garantie perte totale et irréversible d’autonomie (PTIA) : elle couvre les situations où l’un de vous se retrouve dans l’incapacité totale et définitive d’exercer toute activité rémunératrice et nécessite l’assistance d’une tierce personne pour accomplir les actes essentiels de la vie quotidienne. Les garanties complémentaires recommandées Au-delà des garanties de base, d’autres protections méritent votre attention : L’incapacité temporaire de travail (ITT) : elle prend en charge vos mensualités si vous êtes temporairement dans l’impossibilité de travailler suite à un accident ou une maladie. Particulièrement pertinente pour un jeune couple actif dont les revenus constituent le pilier du remboursement. L’invalidité permanente totale (IPT) ou partielle (IPP) : ces garanties interviennent lorsque votre taux d’invalidité dépasse certains seuils, généralement 66 % pour l’IPT et entre 33 % et 66 % pour l’IPP. La garantie perte d’emploi : bien que plus coûteuse et souvent assortie de conditions strictes, elle peut constituer un filet de sécurité non négligeable pour un jeune couple en début de carrière professionnelle. La quotité d’assurance : un choix stratégique pour votre couple Comprendre le principe de quotité La quotité d’assurance représente le pourcentage du capital emprunté couvert par l’assurance pour chaque emprunteur. C’est l’une des décisions les plus importantes que vous aurez à prendre ensemble. L’exigence minimale impose que la somme des quotités atteigne 100 % du prêt. Mais comment répartir cette couverture entre vous deux ? Les différentes options de répartition La quotité équilibrée 50/50 : chacun est assuré pour la moitié du prêt. En cas de sinistre touchant l’un de vous, l’assurance rembourse 50 % du capital restant dû, laissant l’autre conjoint assumer les 50 % restants. Cette option convient aux couples aux revenus équilibrés et sans charges particulières prévisibles. La quotité déséquilibrée (70/30, 60/40…) : elle s’adapte aux situations où les revenus sont inégaux. Si l’un de vous gagne significativement plus que l’autre, il peut être judicieux de lui attribuer une quotité plus élevée. En cas de sinistre le concernant, la prise en charge sera proportionnellement plus importante. La quotité totale à 200 % (100 % chacun) : c’est la protection maximale. Quel que soit celui qui est touché par un sinistre, l’intégralité du prêt sera remboursée. Le conjoint survivant n’aura plus aucune mensualité à régler. Cette option, bien que plus coûteuse, est fortement recommandée pour l’achat de votre résidence principale, surtout si vous envisagez d’agrandir la famille. Anticiper l’évolution de votre vie de couple En tant que jeune couple, votre situation évoluera probablement : arrivée d’enfants, évolution de carrière, congé parental… Ces changements impacteront votre capacité financière. Une quotité … Continued
Résilier son assurance bancaire : le geste le plus rentable de votre vie de propriétaire
Assurance prêt étudiant Guide prêt étudiant Taux assurance prêt étudiant Types de prêt étudiant Simuler économies assurance prêt étudiant Assurance prêt immobilier Assurer mon prêt immobilier Changer d’assurance de prêt immobilier Délégation d’assurance emprunteur Taux d’assurance de prêt immobilier Actualités Contact Espagnol Faire mon devis Résilier son assurance bancaire : le geste le plus rentable de votre vie de propriétaire Assurance emprunteur 03.12.2025 AccueilblogAssurance emprunteur Résilier son assurance bancaire : le geste le plus rentable de votre vie de propriétaire Linkedin Facebook Instagram Youtube Vous remboursez votre crédit immobilier chaque mois et, avec lui, une assurance emprunteur qui représente parfois jusqu’à 30 % du coût total de votre prêt. Pourtant, saviez-vous que vous n’êtes pas obligé de conserver l’assurance proposée par votre banque ? Changer d’assurance de prêt immobilier peut vous faire économiser plusieurs milliers d’euros sur la durée de votre emprunt. C’est probablement l’une des décisions financières les plus rentables que vous puissiez prendre en tant que propriétaire. Depuis 2010, la législation française a considérablement évolué pour permettre aux emprunteurs de choisir librement leur assurance et de la résilier à tout moment. Malgré ces avancées, trop peu de propriétaires profitent encore de cette opportunité. Découvrez pourquoi résilier son assurance emprunteur devrait figurer en haut de votre liste de priorités financières. Sommaire Pourquoi l’assurance emprunteur coûte-t-elle si cher ? Les lois qui ont révolutionné l’assurance emprunteur Combien pouvez-vous vraiment économiser ? Faire une simulation pour connaître votre potentiel d’économies Comment résilier concrètement son assurance bancaire ? Les pièges à éviter lors du changement Pourquoi les banques freinent encore le changement ? Les profils qui ont le plus à gagner L’impact de la résiliation sur votre relation bancaire Les outils digitaux pour simplifier vos démarches Résilier son assurance : un geste citoyen ? N’attendez plus pour agir Pourquoi l’assurance emprunteur coûte-t-elle si cher ? Un contrat groupe aux garanties standardisées Lorsque vous souscrivez un crédit immobilier, votre banque vous propose systématiquement son assurance groupe. Ce contrat collectif mutualise les risques entre tous les emprunteurs, ce qui signifie que vous payez le même tarif qu’un emprunteur présentant un profil de risque différent du vôtre. Si vous êtes jeune, non-fumeur et en bonne santé, vous subventionnez de fait les profils plus risqués. Les contrats groupe bancaires appliquent des taux moyens qui ne tiennent pas compte de vos spécificités individuelles. Résultat : vous payez souvent bien plus cher que nécessaire. Des marges confortables pour les établissements bancaires L’assurance emprunteur représente une source de revenus considérable pour les banques. Selon plusieurs études du secteur, les marges pratiquées sur ces contrats peuvent atteindre 70 à 80 %. Autrement dit, pour 100 € de cotisation versée, seulement 20 à 30 € servent réellement à couvrir le risque assurantiel. Cette rentabilité exceptionnelle explique pourquoi les banques sont si réticentes à voir leurs clients partir vers la concurrence. Pourtant, le marché s’est ouvert grâce à plusieurs lois successives qui ont libéralisé l’assurance de prêt. Les lois qui ont révolutionné l’assurance emprunteur La loi Lagarde (2010) : le premier pas vers la liberté La loi Lagarde a marqué un tournant majeur en autorisant les emprunteurs à choisir une délégation d’assurance dès la souscription du prêt. Vous n’êtes plus obligé d’accepter le contrat groupe de votre banque. Vous pouvez opter pour un assureur externe proposant des garanties équivalentes à des tarifs souvent bien plus avantageux. Cette loi a posé le principe de l’équivalence de garanties : tant que votre nouveau contrat offre un niveau de protection comparable à celui exigé par la banque, celle-ci ne peut pas refuser votre délégation. La loi Hamon (2014) : changer d’avis dans la première année Adoptée en 2014, la loi Hamon a franchi une nouvelle étape en permettant aux emprunteurs de résilier leur assurance emprunteur durant les 12 premiers mois suivant la signature du prêt. Cette mesure vous laisse le temps de comparer sereinement les offres après avoir finalisé votre achat immobilier. Concrètement, si vous avez signé votre crédit il y a moins d’un an, vous pouvez changer d’assurance à tout moment pendant cette période, sans frais ni pénalités. La banque dispose de 10 jours ouvrés pour accepter ou refuser votre nouveau contrat. L’amendement Bourquin (2018) : la résiliation annuelle L’amendement Bourquin, entré en vigueur en 2018, a généralisé le droit à la résiliation annuelle de l’assurance de prêt. Désormais, chaque année à la date anniversaire de votre contrat, vous pouvez changer d’assureur en respectant un préavis de deux mois. Cette disposition s’applique à tous les contrats de prêt, quelle que soit leur date de signature. C’est une révolution qui vous offre une liberté totale pour optimiser le coût de votre assurance tout au long de la vie de votre emprunt. La loi Lemoine (2022) : la résiliation à tout moment La loi Lemoine représente l’aboutissement de cette évolution législative. Depuis le 1er septembre 2022, vous pouvez résilier votre assurance emprunteur à tout moment, sans attendre la date anniversaire et sans frais. Cette loi supprime également le questionnaire médical pour les prêts inférieurs à 200 000 € par personne (400 000 € pour un couple) dont le terme intervient avant le 60ᵉ anniversaire de l’emprunteur. Un changement majeur qui facilite l’accès à l’assurance pour de nombreux profils. Combien pouvez-vous vraiment économiser ? Des économies chiffrées sur toute la durée du prêt Les économies réalisées en changeant d’assurance de prêt immobilier sont loin d’être anecdotiques. Sur un crédit de 200 000 € sur 20 ans, la différence entre un contrat groupe bancaire et une délégation d’assurance peut représenter entre 10 000 € et 15 000 €. Prenons un exemple concret : pour un emprunt de 250 000 € sur 25 ans, un contrat bancaire avec un taux de 0,36 % vous coûtera 22 500 €. En optant pour une assurance individuelle à 0,15 %, vous ne paierez que 9 375 €. Soit une économie de 13 125 € sur la durée totale du prêt. Un gain mensuel immédiat Au-delà de l’économie globale, c’est votre budget mensuel qui s’améliore instantanément. Sur notre exemple précédent, … Continued
Nouveau monde du travail : comment assurer son prêt quand on vit du digital
Seguro de préstamos estudiantiles Guía del préstamo estudiantil Tasa de seguro de préstamo estudiantil Tipos de préstamo estudiantil Simular ahorro en el seguro de préstamo estudiantil Seguro de préstamo hipotecario Asegurar mi préstamo hipotecario Cambiar el seguro de préstamo hipotecario: guía completa para ahorrar dinero Delegación del seguro del prestatario Tasa de seguro de préstamo hipotecario Contacto NOTICIAS Francés Faire mon devis Nouveau monde du travail : comment assurer son prêt quand on vit du digital ? Assurance emprunteur 03.12.2025 AccueilblogAssurance emprunteur Nouveau monde du travail : comment assurer son prêt quand on vit du digital ? Linkedin Facebook Instagram Youtube Le paysage professionnel a radicalement changé. Vous êtes freelance, développeur web, consultant digital ou créateur de contenu ? Votre ordinateur et une connexion internet suffisent pour travailler depuis n’importe où dans le monde. Cette liberté a un prix : obtenir un prêt immobilier quand vous vivez du digital reste un parcours semé d’embûches. Pourtant, des solutions existent pour concrétiser votre projet d’achat immobilier, même avec un statut professionnel atypique. Sommaire Comprendre les enjeux de l’assurance emprunteur pour les travailleurs digitaux Construire un dossier solide pour obtenir son crédit immobilier Les garanties d’assurance adaptées aux profils digitaux Optimiser le coût de son assurance emprunteur Les outils digitaux au service de votre assurance Stratégies pour maximiser ses chances d’obtention Les spécificités du nomadisme digital Anticiper les questions des banques Les erreurs à éviter absolument Ressources et accompagnement L’accès au crédit immobilier est possible Comprendre les enjeux de l’assurance emprunteur pour les travailleurs digitaux Le défi du profil professionnel atypique En tant que travailleur du numérique, votre situation professionnelle diffère radicalement de celle d’un salarié en CDI. Les banques perçoivent les travailleurs non salariés comme des profils à risque en raison de la variabilité et de l’instabilité des revenus. Cette perception s’explique par plusieurs facteurs qui compliquent l’évaluation du risque par les établissements prêteurs. Contrairement aux salariés qui bénéficient d’un contrat de travail avec un revenu mensuel garanti, vos revenus dépendent directement de votre activité. Un mois peut s’avérer exceptionnel tandis que le suivant sera plus calme. Cette fluctuation des revenus inquiète les banques qui cherchent avant tout des garanties de remboursement sur le long terme. Les particularités du statut de travailleur indépendant digital Votre statut professionnel présente des spécificités qui impactent directement votre accès au crédit : Sans employeur traditionnel, vous ne disposez pas de bulletin de salaire mensuel. Vos revenus proviennent de vos missions, de vos contrats clients ou de vos créations digitales. Cette absence de fiche de paie complique l’analyse de votre capacité de remboursement par les organismes financiers. Les travailleurs indépendants ne touchent quasiment aucune indemnité en cas d’arrêt de travail ou de cessation d’activité. Cette réalité renforce la prudence des banques qui craignent un défaut de paiement en cas de problème de santé ou de période creuse. L’importance cruciale de l’assurance emprunteur Bien que légalement elle ne soit pas obligatoire, la banque vous demandera systématiquement de souscrire une assurance pour votre prêt immobilier. Cette protection couvre les risques de décès, d’invalidité et d’incapacité de travail. Pour un travailleur digital, elle représente un enjeu encore plus crucial. L’assurance emprunteur garantit à la banque le remboursement du crédit si vous ne pouvez plus assumer vos mensualités. Elle protège également votre patrimoine et vos proches en cas de coup dur. L’assurance de prêt immobilier peut représenter jusqu’à 30 % du coût total de votre crédit, d’où l’importance de bien la choisir. Construire un dossier solide pour obtenir son crédit immobilier Les documents indispensables à préparer Pour rassurer les banques et obtenir votre financement, vous devez constituer un dossier béton. Les banques demandent généralement les trois derniers bilans comptables ou relevés d’activité, ainsi que les avis d’imposition des deux dernières années. Voici les éléments essentiels à réunir : Vos déclarations fiscales sur au moins deux années consécutives démontrent la pérennité de votre activité. Ces documents permettent aux banques de calculer vos revenus moyens et d’évaluer leur stabilité dans le temps. Les justificatifs de vos missions en cours et de vos contrats clients renforcent considérablement votre crédibilité. Un portefeuille clients diversifié et des contrats récurrents avec des entreprises reconnues rassurent les établissements prêteurs sur la continuité de vos revenus. Votre comptabilité professionnelle doit être irréprochable. Un compte bancaire professionnel clair et à jour facilite l’analyse de votre situation financière. Séparer rigoureusement vos transactions professionnelles et personnelles témoigne de votre sérieux et de votre organisation. L’ancienneté : votre meilleur atout Être en activité depuis plusieurs années prouve à la banque que votre entreprise est pérenne ou que votre activité est régulière. Les établissements bancaires exigent généralement une ancienneté minimale de deux à trois ans avant d’accorder un prêt immobilier à un travailleur indépendant. Cette exigence s’explique simplement : vos premières années d’activité représentent la période la plus risquée. Après deux ou trois ans, vous avez démontré votre capacité à fidéliser des clients, à générer un chiffre d’affaires stable et à pérenniser votre activité. Les banques considèrent alors votre projet avec plus de sérieux. Les secteurs d’activité qui rassurent les banques Tous les métiers du digital ne sont pas perçus de la même manière par les établissements financiers. Certaines professions sont considérées comme plus stables ou à fort potentiel : professions libérales réglementées, consultants en tech ou en finance. Si vous exercez dans un domaine en forte demande comme le développement web, le marketing digital, la cybersécurité ou le design d’expérience utilisateur, mettez cet atout en avant. Les secteurs porteurs et en croissance constante inspirent davantage confiance aux banques. Votre positionnement sur des niches techniques pointues ou votre expertise reconnue dans votre domaine peuvent également jouer en votre faveur. N’hésitez pas à documenter vos certifications professionnelles, vos formations continues et vos réalisations marquantes. Les garanties d’assurance adaptées aux profils digitaux Les garanties minimales exigées En tant que travailleur freelance, il est plus avantageux de souscrire une assurance emprunteur individuelle auprès d’une compagnie d’assurance externe. Cette approche vous permet d’obtenir des garanties sur mesure adaptées à votre profil spécifique. Les garanties décès … Continued
Nouveau job, bébé, déménagement… votre assurance emprunteur suit-elle le rythme ?
Assurance prêt étudiant Guide prêt étudiant Taux assurance prêt étudiant Types de prêt étudiant Simuler économies assurance prêt étudiant Assurance prêt immobilier Assurer mon prêt immobilier Changer d’assurance de prêt immobilier Délégation d’assurance emprunteur Taux d’assurance de prêt immobilier Actualités Contact Espagnol Faire mon devis Nouveau job, bébé, déménagement… votre assurance emprunteur suit-elle le rythme ? Assurance emprunteur 13.11.2025 AccueilblogAssurance emprunteurNouveau job, bébé, déménagement… votre assurance emprunteur suit-elle le rythme ? Linkedin Facebook Instagram Youtube Vous vous souvenez de ce jour où vous avez signé votre prêt immobilier ? Cette sensation grisante de devenir propriétaire, mêlée à l’anxiété de vous engager sur vingt ou vingt-cinq ans ? Ce jour-là, vous avez également signé une assurance emprunteur, probablement sans y prêter grande attention. C’était une formalité administrative parmi tant d’autres, noyée dans une pile de documents. Aujourd’hui, votre vie a changé. Vous n’êtes plus la même personne qu’il y a cinq ans. Vous avez évolué, grandi, changé de cap. Mais cette assurance, elle, est restée figée dans le temps, comme une photographie jaunie d’une version de vous qui n’existe plus vraiment. Cette dissonance est plus courante qu’on ne le pense. Nous consacrons des heures à choisir le bon smartphone, à comparer les forfaits internet, à traquer les meilleures offres pour nos vacances. Pourtant, notre assurance de prêt immobilier – ce contrat qui protège notre bien le plus précieux et notre famille en cas de coup dur – reste souvent oubliée dans un tiroir, jamais réexaminée, jamais questionnée. C’est paradoxal, presque irrationnel. Mais c’est profondément humain : nous préférons éviter ce qui nous rappelle notre vulnérabilité, notre mortalité, les risques de la vie. Jusqu’au jour où il est trop tard. Sommaire Pourquoi votre assurance emprunteur doit évoluer avec vous Nouveau job : quand votre carrière bouleverse votre assurance L’arrivée d’un bébé : protéger votre famille autrement Déménagement : quand votre adresse change tout Les outils pour adapter votre assurance emprunteur Les étapes pratiques pour mettre à jour votre assurance Les erreurs à éviter lors d’un changement de situation Anticiper les changements futurs dans votre assurance Une assurance qui vous ressemble vraiment Pourquoi votre assurance emprunteur doit évoluer avec vous L’assurance emprunteur : un contrat vivant Contrairement aux idées reçues, votre assurance prêt immobilier n’est pas figée dans le temps. Les contrats d’assurance peuvent et doivent s’adapter aux évolutions de votre situation personnelle et professionnelle. Lorsque vous avez souscrit votre crédit, vous étiez peut-être célibataire, en CDI depuis quelques années, sans enfants à charge. Aujourd’hui, votre réalité peut être totalement différente. Cette capacité d’adaptation est essentielle pour deux raisons majeures : garantir une protection optimale face aux risques réels auxquels vous êtes exposé, et éviter de payer pour des garanties devenues inadaptées ou au contraire, de vous retrouver sous-assuré face à de nouveaux besoins. Les changements de vie qui impactent votre couverture Plusieurs événements marquants peuvent modifier significativement vos besoins en matière d’assurance crédit immobilier : Les évolutions professionnelles : changement d’employeur, passage au statut d’indépendant, création d’entreprise, promotion impliquant de nouvelles responsabilités ou risques Les changements familiaux : mariage, naissance d’un enfant, divorce, décès du conjoint, prise en charge d’un parent dépendant Les modifications patrimoniales : héritage, acquisition d’un second bien, vente d’un bien locatif, constitution d’une épargne importante Les transformations résidentielles : déménagement dans une autre région, expatriation, retour en France après une période à l’étranger Nouveau job : quand votre carrière bouleverse votre assurance Changement d’employeur et stabilité professionnelle Décrocher un nouveau poste est généralement une excellente nouvelle. Mais cette transition professionnelle peut avoir des répercussions sur votre assurance emprunteur. Si votre nouveau contrat implique une période d’essai, certains assureurs peuvent considérer temporairement votre situation comme moins stable. Plus préoccupant encore : si vous passez d’un CDI à un CDD ou à un statut d’indépendant, les conditions de votre garantie perte d’emploi peuvent être affectées. Certaines clauses excluent explicitement les travailleurs non-salariés ou imposent des conditions strictes pour les indemniser en cas d’arrêt d’activité. Reconversion professionnelle et évaluation des risques Une reconversion vers un métier considéré comme « à risque » par les assureurs (métiers du bâtiment, secteurs nécessitant des déplacements fréquents, professions exposées à des substances dangereuses) peut entraîner une révision de vos garanties. L’assureur pourrait appliquer une surprime ou exclure certains risques professionnels de votre couverture. À l’inverse, si vous quittez une profession risquée pour un emploi de bureau, vous pourriez bénéficier d’une baisse de vos cotisations. C’est l’occasion de renégocier votre contrat d’assurance prêt pour obtenir des conditions plus avantageuses. Augmentation de revenus et révision des garanties Une promotion significative ou un nouveau poste mieux rémunéré peut justifier une révision à la hausse de vos garanties. Votre capacité de remboursement ayant augmenté, vous pourriez souhaiter renforcer votre protection, notamment en augmentant le montant des indemnités journalières en cas d’arrêt de travail. Cette évolution positive de votre situation financière est également le moment idéal pour comparer les offres du marché. Grâce à la délégation d’assurance emprunteur, vous pouvez changer de contrat à tout moment pour profiter de tarifs plus compétitifs, tout en bénéficiant de garanties équivalentes ou supérieures. L’arrivée d’un bébé : protéger votre famille autrement Réévaluer la répartition des quotités L’arrivée d’un enfant transforme radicalement vos priorités financières. Si vous êtes deux emprunteurs, la répartition des quotités d’assurance entre vous mérite d’être réexaminée. Par défaut, de nombreux couples optent pour une couverture à 50 % chacun, totalisant 100 % du capital emprunté. Avec un nouveau-né, il peut être judicieux d’augmenter cette couverture à 200 % (100 % pour chaque emprunteur). En cas de décès de l’un des conjoints, le survivant serait ainsi totalement libéré du crédit immobilier, lui permettant de se consacrer à l’éducation de l’enfant sans le poids d’une dette importante. Cette garantie décès invalidité renforcée représente un surcoût mensuel, mais offre une sécurité inestimable. Anticiper les congés parentaux et leurs impacts Un congé parental, même partiellement rémunéré, entraîne une baisse de revenus temporaire. Si vous avez souscrit une garantie perte d’emploi ou incapacité de travail, vérifiez que votre contrat couvre bien cette … Continued
Souscrire ailleurs que dans sa banque : pourquoi les Français n’attendent plus pour changer d’assurance
Assurance prêt étudiant Guide prêt étudiant Taux assurance prêt étudiant Types de prêt étudiant Simuler économies assurance prêt étudiant Assurance prêt immobilier Assurer mon prêt immobilier Changer d’assurance de prêt immobilier Délégation d’assurance emprunteur Taux d’assurance de prêt immobilier Actualités Contact Espagnol Faire mon devis Souscrire ailleurs que dans sa banque : pourquoi les Français n’attendent plus pour changer d’assurance Assurance emprunteur 13.11.2025 AccueilblogAssurance emprunteurSouscrire ailleurs que dans sa banque : pourquoi les Français n’attendent plus pour changer d’assurance Linkedin Facebook Instagram Youtube Le marché de l’assurance emprunteur connaît une véritable révolution en France. Longtemps considérée comme un passage obligé auprès de sa banque, l’assurance de prêt immobilier se libère progressivement de cette contrainte historique. Les emprunteurs français découvrent qu’ils peuvent réaliser des économies substantielles en souscrivant une assurance emprunteur ailleurs que dans leur établissement bancaire. Cette prise de conscience s’accompagne d’une simplification des démarches et d’une meilleure information des consommateurs sur leurs droits. Sommaire La fin du monopole bancaire sur l’assurance emprunteur Les avantages concrets de la délégation d’assurance Les outils digitaux au service des emprunteurs Les profils qui bénéficient le plus du changement Les idées reçues qui freinent encore certains emprunteurs Comment réussir son changement d’assurance emprunteur L’avenir de l’assurance emprunteur en France La fin du monopole bancaire sur l’assurance emprunteur Un cadre législatif favorable aux emprunteurs Pendant des décennies, les banques ont maintenu une position dominante sur le marché de l’assurance de prêt immobilier. Cette situation a évolué grâce à plusieurs réformes législatives majeures qui ont progressivement ouvert le marché à la concurrence. La loi Lagarde de 2010 a constitué le premier tournant décisif en permettant aux emprunteurs de choisir librement leur assurance emprunteur au moment de la signature du prêt, à condition de présenter des garanties équivalentes à celles proposées par la banque. Cette disposition, appelée délégation d’assurance, a ouvert la voie à une véritable concurrence sur ce marché auparavant verrouillé. La loi Hamon de 2014 a renforcé cette dynamique en autorisant le changement d’assurance emprunteur durant la première année suivant la signature du prêt. Les emprunteurs disposaient ainsi d’un délai supplémentaire pour comparer les offres et résilier leur assurance de prêt souscrite auprès de leur banque. L’amendement Bourquin de 2017 a franchi une étape supplémentaire en instaurant le droit de résiliation annuelle de l’assurance emprunteur à chaque date anniversaire du contrat. Cette mesure a considérablement élargi les possibilités de changement pour les millions d’emprunteurs déjà engagés dans un prêt immobilier. Enfin, la loi Lemoine de 2022 a parachevé cette évolution en permettant la résiliation à tout moment de l’assurance emprunteur, sans frais ni pénalités. Cette réforme majeure a supprimé toute contrainte temporelle et simplifié considérablement les démarches de changement d’assurance de prêt. Les raisons du changement de mentalité Les emprunteurs français n’attendent plus pour plusieurs raisons convergentes. D’abord, la différence de prix assurance emprunteur entre les contrats bancaires et les assurances alternatives peut atteindre 50 à 70 % sur la durée totale du prêt, représentant parfois plus de 15 000 euros d’économies pour un crédit immobilier standard. Ensuite, la digitalisation des services financiers a considérablement simplifié les démarches. Les plateformes de comparaison en ligne permettent désormais d’obtenir des devis personnalisés en quelques minutes et de comparer les assurances emprunteur sans avoir à multiplier les rendez-vous physiques. La transparence accrue du marché joue également un rôle déterminant. Les emprunteurs sont mieux informés de leurs droits et des économies potentielles grâce aux médias, aux associations de consommateurs et aux outils digitaux spécialisés. Les avantages concrets de la délégation d’assurance Des économies substantielles à la clé Le principal moteur du changement reste incontestablement l’aspect financier. Les contrats d’assurance emprunteur bancaires appliquent généralement un taux fixe calculé sur le capital initial emprunté, tandis que les assureurs alternatifs proposent souvent des taux calculés sur le capital restant dû, ce qui génère une économie assurance prêt immobilier croissante au fil du temps. Pour un emprunt de 200 000 euros sur 20 ans, la différence entre un taux d’assurance emprunteur bancaire de 0,36 % et un taux alternatif de 0,15 % représente une économie totale d’environ 8 400 euros. Sur un prêt de 300 000 euros, ce gain peut dépasser les 12 000 euros. Ces économies ne se font pas au détriment de la qualité de la couverture. Les assureurs alternatifs proposent fréquemment des garanties plus étendues que celles des banques, avec des conditions de prise en charge plus favorables, notamment sur les exclusions médicales ou les garanties complémentaires. Une couverture souvent plus adaptée au profil Contrairement aux assurances groupe bancaires qui proposent un contrat standardisé pour tous leurs clients, les assureurs alternatifs développent des offres d’assurance emprunteur personnalisées tenant compte du profil individuel de chaque emprunteur. Les jeunes emprunteurs en bonne santé, les non-fumeurs ou les personnes exerçant des professions peu risquées bénéficient ainsi de tarifs significativement plus avantageux. À l’inverse, même les profils présentant des risques particuliers (pratique de sports à risque, professions exposées, antécédents médicaux) trouvent désormais des solutions adaptées avec des surprimes souvent inférieures à celles appliquées par les banques. Cette personnalisation s’étend également aux garanties elles-mêmes. Les emprunteurs peuvent choisir des couvertures renforcées sur certains risques spécifiques tout en allégeant d’autres garanties moins pertinentes pour leur situation, optimisant ainsi le rapport qualité-prix assurance prêt. La simplicité des démarches administratives Contrairement aux idées reçues, changer d’assurance emprunteur n’implique plus de parcours du combattant administratif. La loi Lemoine a considérablement simplifié le processus en imposant aux banques d’accepter rapidement les demandes de substitution et en leur interdisant de facturer des frais de dossier. La procédure se déroule généralement en quelques étapes simples : Comparer les offres disponibles via des plateformes spécialisées Souscrire le nouveau contrat répondant aux exigences d’équivalence de garanties Envoyer la demande de substitution à sa banque avec le nouveau contrat Obtenir l’accord bancaire dans un délai de 10 jours ouvrés maximum Résilier l’ancien contrat qui prend effet automatiquement Les assureurs alternatifs accompagnent généralement leurs clients tout au long de ce processus, prenant en charge une partie significative des démarches administratives et s’assurant du respect du … Continued
Primo-accédants : comment bénéficier de la délégation d’assurance emprunteur ?
Assurance prêt étudiant Guide prêt étudiant Taux assurance prêt étudiant Types de prêt étudiant Simuler économies assurance prêt étudiant Assurance prêt immobilier Assurer mon prêt immobilier Changer d’assurance de prêt immobilier Délégation d’assurance emprunteur Taux d’assurance de prêt immobilier Actualités Contact Espagnol Faire mon devis Primo-accédants : comment bénéficier de la délégation d’assurance emprunteur ? Assurance emprunteur 11.11.2025 AccueilblogAssurance emprunteurPrimo-accédants : comment bénéficier de la délégation d’assurance emprunteur ? Linkedin Facebook Instagram Youtube L’excitation d’acquérir son premier logement s’accompagne souvent d’une multitude de décisions financières à prendre dans l’urgence. Entre la recherche du bien idéal, les négociations avec le vendeur et les rendez-vous bancaires, un poste de dépense majeur passe fréquemment sous les radars des primo-accédants : l’assurance emprunteur. Représentant jusqu’à 30 % du coût total d’un crédit immobilier, cette garantie obligatoire peut pourtant faire l’objet d’une véritable stratégie d’optimisation. Contrairement à ce que laissent entendre certains conseillers bancaires, vous n’êtes absolument pas contraint d’accepter l’assurance proposée par votre établissement prêteur. La délégation d’assurance emprunteur vous offre la liberté de choisir un contrat concurrent, souvent deux fois moins onéreux à garanties équivalentes. Pour un premier achat immobilier, cette économie peut se chiffrer entre 8 000 et 20 000 euros sur la durée totale du prêt, soit l’équivalent d’une cuisine équipée ou de plusieurs années de charges de copropriété. Pourtant, selon les dernières statistiques, moins d’un primo-accédant sur trois exerce effectivement ce droit. Méconnaissance des dispositifs légaux, crainte de froisser la banque, ou simple manque de temps dans le rush de l’achat : les raisons de cette sous-utilisation sont multiples. Ce guide pratique vous révèle comment transformer ce droit théorique en avantage financier concret, étape par étape. Sommaire Qu’est-ce que la délégation d’assurance emprunteur ? Le cadre légal : vos droits en tant qu’emprunteur Les étapes pour mettre en place une délégation d’assurance Comment comparer et choisir son assurance déléguée ? Simulation d’assurance : pourquoi et comment l’utiliser ? Cas pratiques et témoignages Questions fréquentes des primo-accédants Prenez en main votre assurance emprunteur Sources et références Qu’est-ce que la délégation d’assurance emprunteur ? Définition et principes fondamentaux La délégation d’assurance emprunteur désigne le droit pour un emprunteur de souscrire son assurance de prêt immobilier auprès d’un assureur externe plutôt que d’accepter le contrat groupe proposé par sa banque prêteuse. Contrairement aux idées reçues, l’établissement bancaire ne peut pas imposer son propre contrat d’assurance. Ce principe de libre choix repose sur plusieurs textes législatifs majeurs qui ont progressivement renforcé les droits des emprunteurs. La loi Lagarde de 2010 a initié ce mouvement en autorisant la délégation lors de la souscription du crédit. Par la suite, la loi Hamon de 2014 a permis le changement d’assurance durant la première année du prêt, et la loi Bourquin de 2017 a étendu cette possibilité à chaque date anniversaire du contrat. Les avantages concrets pour les primo-accédants Pour les primo-accédants, souvent jeunes et en bonne santé, la délégation d’assurance présente des atouts considérables : Économies financières significatives : Les tarifs des assurances individuelles peuvent être jusqu’à 50 % moins élevés que les contrats groupe bancaires, représentant une économie de 5 000 à 15 000 euros sur vingt ans. Garanties personnalisées : Contrairement aux contrats collectifs standardisés, les assurances déléguées proposent des couvertures adaptées à votre profil et votre situation professionnelle. Meilleure couverture : Les conditions d’indemnisation sont généralement plus favorables, avec moins d’exclusions et des franchises réduites. Flexibilité : Possibilité d’ajuster les quotités d’assurance entre co-emprunteurs selon les revenus respectifs. Ces avantages prennent tout leur sens pour un premier achat immobilier, où chaque euro économisé compte pour constituer son patrimoine. Le cadre légal : vos droits en tant qu’emprunteur Les lois protectrices des emprunteurs Le législateur français a progressivement construit un arsenal juridique protégeant le droit des emprunteurs à choisir leur assurance de crédit immobilier : La loi Lagarde (2010) constitue le socle fondateur en instaurant le principe de délégation dès la signature du prêt. Elle interdit aux banques de modifier les conditions du crédit ou de facturer des frais supplémentaires en cas de délégation. La loi Hamon (2014) renforce cette protection en permettant aux emprunteurs de résilier leur assurance durant les douze premiers mois suivant la signature de l’offre de prêt, sans frais ni pénalités. La loi Bourquin (2017), également appelée amendement Bourquin, autorise le changement d’assurance chaque année à la date anniversaire du contrat, offrant ainsi une flexibilité pérenne. La loi Lemoine (2022) représente l’avancée la plus récente en supprimant le questionnaire médical pour les prêts inférieurs à 200 000 euros par personne et dont le terme intervient avant le 60e anniversaire de l’emprunteur. Elle permet également la résiliation à tout moment, sans attendre la date anniversaire. L’équivalence de garanties : condition impérative Pour accepter une délégation d’assurance emprunteur, la banque vérifie que le contrat externe présente un niveau de garanties au moins équivalent à celui de son contrat groupe. Cette vérification s’effectue sur la base de critères définis par le Comité consultatif du secteur financier (CCSF). Les banques utilisent généralement entre 11 et 18 critères portant sur : La garantie décès La garantie PTIA (Perte Totale et Irréversible d’Autonomie) La garantie IPT (Invalidité Permanente Totale) La garantie ITT (Incapacité Temporaire de Travail) Les exclusions et limitations éventuelles Les délais de franchise Les modalités d’indemnisation La banque doit remettre sa fiche standardisée d’information (FSI) mentionnant précisément ces critères. Le contrat délégué doit cocher au minimum le même nombre de critères pour être accepté. Les étapes pour mettre en place une délégation d’assurance Avant la signature du prêt : le moment idéal La période précédant la signature de l’offre de prêt immobilier représente le moment le plus stratégique pour mettre en place une délégation d’assurance. À ce stade, vous disposez d’une marge de négociation maximale. Démarche à suivre : Obtenir la fiche standardisée d’information auprès de votre banque dès la première simulation de prêt Comparer les offres d’assurance en vérifiant scrupuleusement l’équivalence des garanties Souscrire le contrat délégué en fournissant les documents requis (questionnaire de santé si nécessaire, justificatifs d’identité) Transmettre l’attestation d’assurance … Continued
Surendettement des jeunes : quand et comment l’assurance du prêt peut aider
Assurance prêt étudiant Guide prêt étudiant Taux assurance prêt étudiant Types de prêt étudiant Simuler économies assurance prêt étudiant Assurance prêt immobilier Assurer mon prêt immobilier Changer d’assurance de prêt immobilier Délégation d’assurance emprunteur Taux d’assurance de prêt immobilier Actualités Contact Espagnol Faire mon devis Surendettement des jeunes : quand et comment l’assurance du prêt peut aider ? Assurance emprunteur 10.11.2025 AccueilblogAssurance emprunteurSurendettement des jeunes : quand et comment l’assurance du prêt peut aider ? Linkedin Facebook Instagram Youtube Le surendettement des jeunes représente aujourd’hui une problématique majeure en France. Entre les prêts étudiants, les crédits à la consommation et les découverts bancaires, de nombreux jeunes actifs et étudiants se retrouvent piégés dans une spirale d’endettement. Face à cette situation préoccupante, l’assurance emprunteur constitue un dispositif de protection souvent méconnu mais essentiel. Cet article explore comment et quand cette assurance peut véritablement aider les jeunes emprunteurs à éviter le surendettement et à sécuriser leur avenir financier. Sommaire Comprendre le surendettement chez les jeunes Le rôle protecteur de l’assurance emprunteur Quand souscrire une assurance de prêt en tant que jeune ? Comment choisir la bonne assurance emprunteur ? Les démarches pratiques pour bénéficier de l’assurance Que faire en cas de difficultés de remboursement ? Prévenir plutôt que guérir : conseils pour éviter le surendettement L’assurance emprunteur, un investissement pour l’avenir Sources et références Comprendre le surendettement chez les jeunes Les chiffres alarmants du surendettement des moins de 30 ans Le phénomène du surendettement des jeunes prend une ampleur inquiétante. Selon la Banque de France, les 18-34 ans représentent désormais près de 15 % des dossiers de surendettement déposés chaque année. Cette tendance s’explique par plusieurs facteurs : l’augmentation du coût de la vie, la précarité des premiers emplois et l’accès facilité au crédit. Les jeunes emprunteurs accumulent en moyenne entre 15 000 et 30 000 euros de dettes, principalement constituées de prêts étudiants, de crédits à la consommation et de découverts bancaires. Cette situation fragile peut basculer rapidement en cas d’accident de la vie : perte d’emploi, maladie ou invalidité. Les causes principales du surendettement chez les jeunes Plusieurs facteurs contribuent au surendettement des étudiants et jeunes actifs : La précarité financière : les revenus instables des stages, CDD et jobs étudiants ne permettent pas toujours de faire face aux dépenses courantes. Le manque d’éducation financière : nombreux sont ceux qui contractent des prêts sans comprendre pleinement les implications à long terme. L’accumulation de crédits : la facilité d’accès aux crédits revolving et aux découverts autorisés crée un effet boule de neige. Les accidents de la vie : un problème de santé ou une perte d’emploi peut rapidement déséquilibrer un budget déjà tendu. Les dépenses contraintes en hausse : loyer, transport, alimentation pèsent de plus en plus lourd dans le budget des jeunes. Les conséquences du surendettement sur la vie des jeunes Le surendettement jeune adulte génère des répercussions multiples qui dépassent largement le cadre financier. Sur le plan psychologique, l’anxiété, le stress chronique et parfois la dépression accompagnent fréquemment cette situation. Les jeunes concernés voient leurs projets de vie compromis : impossibilité d’emprunter pour un logement, difficultés à se projeter professionnellement ou à fonder une famille. L’isolement social constitue également une conséquence fréquente, tout comme les problèmes de santé liés au stress financier constant. Dans les cas les plus graves, le surendettement peut conduire à l’exclusion bancaire et à une spirale d’endettement dont il devient très difficile de sortir. Le rôle protecteur de l’assurance emprunteur Qu’est-ce que l’assurance de prêt et comment fonctionne-t-elle ? L’assurance emprunteur, également appelée assurance de prêt, est un contrat qui garantit le remboursement total ou partiel d’un crédit en cas d’événements imprévisibles affectant l’emprunteur. Bien que souvent perçue comme une dépense supplémentaire, elle constitue en réalité un filet de sécurité indispensable, particulièrement pour les jeunes emprunteurs en situation fragile. Cette assurance couvre généralement quatre types de risques principaux : Le décès : le capital restant dû est intégralement remboursé à la banque, protégeant ainsi les héritiers. L’invalidité permanente totale (IPT) : lorsque l’assuré ne peut plus exercer aucune activité professionnelle. L’incapacité temporaire de travail (ITT) : en cas d’arrêt de travail prolongé suite à une maladie ou un accident. La perte d’emploi : option facultative mais particulièrement pertinente pour les jeunes actifs en CDD ou période d’essai. Les garanties spécifiques pour les jeunes emprunteurs Les jeunes emprunteurs bénéficient de plusieurs avantages concernant l’assurance prêt étudiant et l’assurance crédit jeune : Des tarifs préférentiels : les compagnies d’assurance proposent souvent des taux avantageux pour les moins de 30 ans, leur profil étant considéré comme moins risqué sur le plan santé. Le coût moyen d’une assurance emprunteur jeune représente généralement entre 0,10 % et 0,40 % du capital emprunté, contre 0,30 % à 0,60 % pour les emprunteurs plus âgés. Des garanties adaptées : certains contrats intègrent des spécificités pour les étudiants et jeunes actifs, comme une franchise réduite en cas d’arrêt de travail ou une prise en compte des stages rémunérés dans le calcul des indemnités. La délégation d’assurance : depuis la loi Lagarde de 2010, renforcée par les lois Hamon et Bourquin, les emprunteurs peuvent choisir librement leur assurance, sans être obligés d’accepter celle proposée par leur banque. Cette liberté permet aux jeunes de comparer les offres et d’optimiser leurs dépenses d’assurance. Comment l’assurance prévient le surendettement L‘assurance emprunteur prévention surendettement joue un rôle crucial dans plusieurs situations : En cas d’arrêt de travail : un jeune actif victime d’un accident ou d’une maladie prolongée voit ses revenus diminuer, parfois drastiquement. L’assurance prend alors le relais en remboursant les échéances du prêt, évitant ainsi l’accumulation de retards et d’agios. En cas de perte d’emploi : particulièrement pertinent pour les jeunes en début de carrière, la garantie perte d’emploi permet de maintenir les remboursements pendant la période de recherche d’un nouveau poste, généralement pendant 12 à 36 mois selon les contrats. En cas d’invalidité : un accident grave entraînant une invalidité permanente peut ruiner financièrement un jeune sans assurance. Avec une assurance prêt jeune … Continued
IA & assurance emprunteur : transparence, biais et droits des étudiants
Assurance prêt étudiant Guide prêt étudiant Taux assurance prêt étudiant Types de prêt étudiant Simuler économies assurance prêt étudiant Assurance prêt immobilier Assurer mon prêt immobilier Changer d’assurance de prêt immobilier Délégation d’assurance emprunteur Taux d’assurance de prêt immobilier Actualités Contact Espagnol Faire mon devis IA & assurance emprunteur : transparence, biais et droits des étudiants Assurance emprunteur 30.10.2025 Accueilblogassurance emprunteurIA & assurance emprunteur : transparence, biais et droits des étudiants Linkedin Facebook Instagram Youtube L’intelligence artificielle révolutionne le secteur de l’assurance emprunteur, particulièrement pour les étudiants qui contractent leur premier prêt. Si ces technologies promettent rapidité et personnalisation, elles soulèvent également des questions cruciales concernant la transparence des algorithmes, les biais discriminatoires et la protection des droits des jeunes emprunteurs. Décryptage d’un enjeu majeur qui façonne l’avenir du crédit étudiant. Sommaire L’IA au cœur de l’assurance emprunteur : une révolution en marche La transparence des algorithmes : un droit fondamental pour les étudiants Les biais algorithmiques : quand l’IA reproduit les discriminations Les droits des étudiants face aux décisions algorithmiques Les outils digitaux au service de la transparence Recommandations pratiques pour les étudiants emprunteurs Vers une IA au service des étudiants L’IA au cœur de l’assurance emprunteur : une révolution en marche Comment l’intelligence artificielle transforme la tarification L’intelligence artificielle en assurance modifie profondément les mécanismes traditionnels de souscription. Les algorithmes analysent désormais des milliers de données pour évaluer le risque d’un emprunteur en quelques secondes : parcours académique, historique bancaire, données de santé anonymisées, comportements de remboursement. Cette automatisation permet aux assureurs de proposer des tarifs personnalisés adaptés au profil de chaque étudiant. Pour les jeunes emprunteurs, cette évolution représente une opportunité : fini les questionnaires interminables et les délais d’attente de plusieurs semaines. L’IA dans l’assurance de prêt offre une réponse quasi-instantanée, particulièrement appréciée lors de projets urgents comme un départ à l’étranger ou l’achat de matériel informatique coûteux. Les promesses de la personnalisation algorithmique Les systèmes d’intelligence artificielle pour l’assurance crédit promettent une tarification plus juste, basée sur le risque réel de chaque individu plutôt que sur des moyennes statistiques. Un étudiant en médecine avec un excellent dossier académique pourrait ainsi bénéficier de conditions plus avantageuses qu’avec une tarification classique. Cette personnalisation de l’assurance par IA s’appuie sur l’apprentissage automatique (machine learning) qui affine continuellement ses prédictions en analysant les comportements de remboursement passés. Les assureurs affirment que cette approche réduit les subventions croisées où les bons risques paient pour les mauvais. La transparence des algorithmes : un droit fondamental pour les étudiants Le principe de la boîte noire algorithmique La principale critique adressée à l’IA en assurance emprunteur concerne l’opacité des décisions. Les algorithmes de deep learning fonctionnent comme des « boîtes noires » : même leurs concepteurs peinent parfois à expliquer pourquoi un profil est accepté et un autre refusé. Cette opacité des algorithmes d’assurance pose un problème démocratique majeur. Pour un étudiant qui se voit refuser une assurance de prêt étudiant sans explication claire, cette situation génère incompréhension et sentiment d’injustice. Comment contester une décision dont on ignore les critères ? Comment s’améliorer si les motifs restent obscurs ? Le cadre légal de la transparence en France Le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) impose aux organismes utilisant des décisions automatisées d’informer les personnes concernées. L’article 22 garantit notamment le droit de ne pas faire l’objet d’une décision fondée exclusivement sur un traitement automatisé produisant des effets juridiques significatifs. Concrètement, les droits des étudiants face à l’IA incluent : Le droit d’être informé de l’utilisation d’algorithmes dans le processus de décision Le droit d’obtenir une explication sur la logique sous-jacente Le droit de contester une décision automatisée Le droit à l’intervention humaine dans le processus de décision La transparence de l’IA en assurance devient ainsi un impératif légal, pas seulement éthique. Les assureurs doivent pouvoir justifier leurs refus par des critères compréhensibles et vérifiables. Les initiatives pour une IA explicable Face à ces enjeux, le concept d’IA explicable (XAI – Explainable AI) gagne du terrain. Certains assureurs développent des interfaces permettant de visualiser les facteurs qui ont influencé une décision. Un étudiant pourrait ainsi découvrir que son taux a été impacté par la durée de son prêt ou son ratio d’endettement, et non par des critères discriminatoires. Des startups françaises travaillent sur des outils de transparence algorithmique qui traduisent les décisions complexes de l’IA en langage clair. Cette évolution vers plus de pédagogie algorithmique devrait progressivement transformer le secteur de l’assurance crédit étudiant. Les biais algorithmiques : quand l’IA reproduit les discriminations Les mécanismes de reproduction des inégalités Les biais dans l’IA d’assurance constituent une préoccupation majeure. Un algorithme apprend à partir de données historiques qui peuvent refléter des discriminations passées. Si les données d’entraînement montrent qu’historiquement, certains profils étudiants ont eu plus de difficultés de remboursement, l’IA reproduira mécaniquement ces schémas, créant un cercle vicieux. Les biais discriminatoires en assurance peuvent toucher différentes catégories d’étudiants : Biais géographiques : les étudiants issus de certains quartiers ou régions peuvent être défavorisés Biais socio-économiques : l’historique bancaire limité des étudiants de milieux modestes joue contre eux Biais académiques : privilégier certaines filières réputées plus « sûres » Biais de genre : des études montrent que les algorithmes peuvent pénaliser les femmes dans certains domaines financiers Les dangers de la discrimination indirecte La discrimination algorithmique est souvent indirecte et difficile à détecter. Un algorithme n’utilise jamais directement des critères illégaux comme l’origine ethnique ou le genre. Mais en croisant d’autres variables apparemment neutres (code postal, type d’établissement scolaire, prénom), l’IA peut aboutir aux mêmes résultats discriminatoires. Pour les étudiants et l’IA en assurance, cette situation est particulièrement préoccupante. Un jeune de banlieue inscrit dans une université moins cotée, issu d’une famille sans patrimoine, cumule des indicateurs qui, sans être discriminatoires en soi, peuvent conduire l’algorithme à le pénaliser injustement. Les solutions pour réduire les biais La lutte contre les biais de l’intelligence artificielle mobilise chercheurs et régulateurs. Plusieurs pistes se dessinent : Audits algorithmiques réguliers : analyse indépendante des décisions pour détecter … Continued
Loi Lemoine 2025 : Trois ans de libération pour l’assurance emprunteur
Assurance prêt étudiant Guide prêt étudiant Taux assurance prêt étudiant Types de prêt étudiant Simuler économies assurance prêt étudiant Assurance prêt immobilier Assurer mon prêt immobilier Changer d’assurance de prêt immobilier Délégation d’assurance emprunteur Taux d’assurance de prêt immobilier Actualités Contact Espagnol Faire mon devis Loi Lemoine 2025 : Trois ans de libération pour l’assurance emprunteur Assurance emprunteur 30.10.2025 Accueilblogassurance emprunteurLoi Lemoine 2025 : Trois ans de libération pour l’assurance emprunteur Linkedin Facebook Instagram Youtube Depuis son entrée en vigueur en juin 2022, la loi Lemoine a profondément transformé le paysage de l’assurance emprunteur en France. En 2025, trois ans après son adoption, cette réforme continue de bouleverser les habitudes des emprunteurs et redistribue les cartes du marché de l’assurance de prêt immobilier. Retour sur une révolution qui a permis à des millions de Français de réaliser des économies substantielles tout en simplifiant leurs démarches. Sommaire Qu’est-ce que la loi Lemoine ? Trois ans après : un bilan révolutionnaire Comment profiter pleinement de la loi Lemoine en 2025 ? Les outils digitaux pour faciliter le changement Les avantages spécifiques pour différents profils d’emprunteurs Les pièges à éviter lors du changement d’assurance Assurly : simulez votre économie en quelques clics Perspectives d’évolution pour 2025 et au-delà Ne laissez pas passer cette opportunité Qu’est-ce que la loi Lemoine ? La loi Lemoine, du nom de la députée Patricia Lemoine qui l’a portée, constitue une avancée majeure dans la protection des consommateurs emprunteurs. Cette législation s’inscrit dans la continuité des lois Lagarde (2010) et Hamon (2014), qui avaient déjà ouvert la voie à la résiliation d’assurance emprunteur. Les trois piliers fondamentaux de la loi La loi Lemoine repose sur trois axes principaux qui ont révolutionné l’accès à l’assurance de prêt : Le droit à la résiliation à tout moment représente l’innovation majeure de cette réforme. Désormais, les emprunteurs peuvent changer d’assurance emprunteur quand ils le souhaitent, sans attendre la date anniversaire du contrat ni la première année de souscription. Cette flexibilité inédite met fin aux périodes d’attente contraignantes et permet de profiter immédiatement des offres plus avantageuses du marché. La suppression du questionnaire de santé pour certains prêts constitue le deuxième pilier. Les emprunteurs dont la part assurée ne dépasse pas 200 000 euros par personne et dont le crédit se termine avant leurs 60 ans n’ont plus à remplir de questionnaire médical. Cette mesure facilite considérablement l’accès au crédit pour les personnes ayant ou ayant eu des problèmes de santé. La réduction du droit à l’oubli complète ce dispositif. Le délai est passé de dix à cinq ans après la fin du protocole thérapeutique pour les anciens malades de cancer ou d’hépatite C, sans majoration de tarif ni exclusion de garantie. Cette avancée symbolique reconnaît le droit à une seconde vie après la maladie. Un cadre législatif protecteur La loi s’applique à tous les contrats d’assurance de prêt immobilier, qu’ils soient en cours ou nouvellement souscrits. Elle concerne également les crédits à la consommation d’un montant supérieur à 60 000 euros. Les établissements bancaires et les assureurs ont l’obligation d’informer annuellement leurs clients de ce droit à résiliation, sous peine de sanctions. Trois ans après : un bilan révolutionnaire Après trois années d’application, la loi Lemoine a produit des effets spectaculaires sur le marché de l’assurance emprunteur et sur le pouvoir d’achat des ménages français. Des économies concrètes pour les emprunteurs Les chiffres parlent d’eux-mêmes : depuis 2022, plus de 2 millions de Français ont changé leur assurance de prêt pour une offre plus compétitive. L’économie moyenne constatée se situe entre 5 000 et 15 000 euros sur la durée totale d’un crédit immobilier de 20 ans, selon le profil de l’emprunteur et le montant emprunté. Pour un couple de 35 ans empruntant 250 000 euros sur 20 ans, le passage d’un contrat groupe bancaire à une délégation d’assurance peut représenter une économie mensuelle de 50 à 80 euros, soit près de 15 000 euros sur toute la durée du prêt. Ces montants, loin d’être négligeables, permettent de financer d’autres projets ou de constituer une épargne de précaution. Une démocratisation de la délégation d’assurance Avant la loi Lemoine, seuls 15 % des emprunteurs optaient pour une assurance emprunteur externe. En 2025, ce taux a grimpé à près de 40 % pour les nouveaux contrats, et le mouvement de résiliation des contrats existants s’est fortement accéléré. Cette tendance témoigne d’une prise de conscience généralisée : l’assurance de prêt n’est plus une formalité imposée par la banque, mais un choix stratégique qui mérite comparaison et réflexion. Un marché plus concurrentiel et transparent La loi Lemoine a stimulé la concurrence entre assureurs, entraînant une baisse généralisée des tarifs et une amélioration des garanties proposées. Les acteurs traditionnels ont dû revoir leurs offres face à l’arrivée massive d’assureurs alternatifs et de courtiers spécialisés. Cette dynamique bénéficie directement aux consommateurs qui disposent désormais d’une offre plus riche et mieux adaptée à leurs besoins réels. Comment profiter pleinement de la loi Lemoine en 2025 ? Tirer parti de cette législation favorable nécessite une démarche structurée et une bonne connaissance de ses droits. Voici les étapes essentielles pour changer d’assurance emprunteur dans les meilleures conditions. Étape 1 : Analyser son contrat actuel Avant toute démarche, il convient d’examiner attentivement son contrat d’assurance de prêt en cours. Plusieurs éléments méritent une attention particulière : Le taux d’assurance emprunteur appliqué et son mode de calcul Les garanties incluses : décès, PTIA, ITT, IPT, IPP Les exclusions de garantie et les franchises Le coût total de l’assurance sur la durée du crédit Les conditions de remboursement en cas de sinistre Cette analyse permet d’identifier les axes d’amélioration potentiels, qu’il s’agisse du prix, des garanties ou des conditions d’indemnisation. Étape 2 : Comparer les offres du marché La comparaison des offres constitue l’étape cruciale pour réaliser des économies significatives. Il est recommandé de solliciter au minimum trois à cinq devis auprès d’assureurs différents en veillant à demander des garanties équivalentes à celles exigées par votre banque. Les critères de comparaison … Continued
Sanctions historiques : pourquoi la DGCCRF sanctionne plus les banques depuis septembre 2025 ?
Assurance prêt étudiant Guide prêt étudiant Taux assurance prêt étudiant Types de prêt étudiant Simuler économies assurance prêt étudiant Assurance prêt immobilier Assurer mon prêt immobilier Changer d’assurance de prêt immobilier Délégation d’assurance emprunteur Taux d’assurance de prêt immobilier Actualités Contact Espagnol Faire mon devis Sanctions historiques : pourquoi la DGCCRF sanctionne plus les banques depuis septembre 2025 ? Assurance emprunteur 30.10.2025 Accueilblogassurance emprunteurSanctions historiques : pourquoi la DGCCRF sanctionne plus les banques depuis septembre 2025 ? Linkedin Facebook Instagram Youtube Depuis septembre 2025, la Direction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF) a considérablement intensifié ses contrôles et sanctions contre les établissements bancaires français. Cette offensive réglementaire sans précédent marque un tournant dans la protection des consommateurs face aux pratiques bancaires jugées abusives. Décryptage d’un phénomène qui bouleverse le secteur financier français. Sommaire Une vague de sanctions inédite contre les grandes banques La loi Lemoine : un cadre juridique renforcé pour les emprunteurs Pourquoi cette intensification des contrôles depuis septembre 2025 ? Un historique de sanctions qui s’alourdit progressivement Les conséquences concrètes pour les banques et les consommateurs Des sanctions appelées à se multiplier dans les prochains mois Que faire si votre banque ne respecte pas vos droits ? Vers un marché bancaire plus transparent et équitable Une vague de sanctions inédite contre les grandes banques Des amendes records pour non-respect de la loi Lemoine L’automne 2025 restera dans les annales comme une période charnière pour le secteur bancaire français. Entre septembre et octobre 2025, la DGCCRF a infligé des sanctions financières à quatre grands établissements bancaires pour des montants totaux dépassant le million d’euros. Ces décisions administratives concernent spécifiquement le non-respect des dispositions de la loi Lemoine sur l’assurance emprunteur. Les établissements sanctionnés incluent la BRED Banque Populaire avec une amende de 298 000 €, la Caisse régionale de Crédit Agricole Paris Île-de-France condamnée à 323 518 €, la Caisse d’Épargne Île-de-France avec 80 000 € d’amende, et le CIC Est qui devra s’acquitter de 196 000 €. Ces sanctions représentent les montants les plus élevés jamais imposés par la DGCCRF dans le domaine de l’assurance emprunteur. Le non-respect systématique du délai légal de 10 jours La principale infraction constatée par la DGCCRF concerne le dépassement répété du délai légal de 10 jours ouvrés imposé pour traiter les demandes de changement d’assurance emprunteur. Selon l’article L.313-31 du Code de la consommation, les établissements prêteurs doivent répondre à toute demande de substitution d’assurance dans ce délai strict et, en cas d’acceptation, transmettre l’avenant au contrat de prêt gratuitement dans le même laps de temps. Les enquêtes menées entre octobre 2022 et mai 2024 ont révélé que ces banques n’avaient pas respecté leurs obligations légales dans un nombre qualifié de « significatif » de dossiers. Les retards pouvaient parfois s’étendre sur plusieurs semaines, voire plusieurs mois, privant ainsi les consommateurs de leur droit à économiser sur leur assurance emprunteur. La loi Lemoine : un cadre juridique renforcé pour les emprunteurs Les trois piliers de la réforme Entrée en vigueur en septembre 2022, la loi Lemoine a profondément transformé le marché de l’assurance emprunteur en France. Cette réforme repose sur trois mesures phares qui visent à renforcer la liberté et le pouvoir d’achat des emprunteurs : La résiliation à tout moment : les emprunteurs peuvent désormais changer d’assurance emprunteur à n’importe quel moment, sans frais ni pénalité, sans avoir à attendre la date anniversaire du contrat La suppression du questionnaire médical : pour tout prêt immobilier de 200 000 € maximum et soldé avant le 60e anniversaire de l’emprunteur L’amélioration du droit à l’oubli : le délai après un cancer est passé de 10 à 5 ans, avec l’inclusion de l’hépatite C dans le dispositif Un enjeu financier majeur pour les consommateurs Les économies potentielles pour les emprunteurs sont considérables. Pour illustrer l’impact concret, prenons l’exemple d’un emprunteur de 35 ans, non fumeur et sans antécédent de santé, qui contracte un prêt immobilier de 250 000 € sur 20 ans. L’assurance proposée par sa banque peut lui coûter jusqu’à 19 000 € contre seulement 4 136 € pour la meilleure offre externe disponible sur le marché. Cette différence de près de 15 000 € explique pourquoi certaines banques ont manifesté des réticences à faciliter le changement d’assurance de leurs clients. En retardant le traitement des demandes de substitution, elles préservent temporairement leurs marges commerciales au détriment des intérêts des consommateurs. Pourquoi cette intensification des contrôles depuis septembre 2025 ? Un bilan d’application préoccupant trois ans après la réforme Trois années après l’entrée en vigueur de la loi Lemoine, la DGCCRF a constaté que de nombreux établissements bancaires continuaient d’entraver le droit des consommateurs à changer librement leur assurance emprunteur. Les enquêtes menées sur la période 2022-2024 ont révélé des pratiques systématiques de retard dans le traitement des demandes, suggérant une stratégie délibérée plutôt que de simples dysfonctionnements ponctuels. Selon Éric Maumy, président de l’APCADE (Association pour la promotion du courtage en assurance et en crédit), « cette sanction confirme que des comportements persistent de la part des banques, au détriment du pouvoir d’achat des Français et de la bonne application de la loi Lemoine ». Cette déclaration reflète la frustration croissante des associations de consommateurs face à la résistance du secteur bancaire. Une volonté politique affirmée de rééquilibrer les rapports banques-consommateurs L’offensive de la DGCCRF s’inscrit dans une stratégie gouvernementale plus large visant à renforcer la protection des consommateurs face aux institutions financières. Après des années de hausses importantes des cotisations et de pratiques commerciales contestables, l’État a décidé d’adopter une posture plus ferme. Les contrôles renforcés menés sur plus de 100 établissements bancaires entre 2023 et 2024 témoignent de cette vigilance accrue. La DGCCRF a multiplié les inspections dans plusieurs régions, notamment dans le Bas-Rhin où le CIC Est a été “épinglé” suite à une enquête réalisée entre août 2023 et mai 2024. Un historique de sanctions qui s’alourdit progressivement Des précédents qui ont marqué le secteur La vague de … Continued
Cancer du sein et l’emprunt immobilier : la maladie ne définit pas votre futur
Assurance prêt étudiant Guide prêt étudiant Taux assurance prêt étudiant Types de prêt étudiant Simuler économies assurance prêt étudiant Assurance prêt immobilier Assurer mon prêt immobilier Changer d’assurance de prêt immobilier Délégation d’assurance emprunteur Taux d’assurance de prêt immobilier Actualités Contact Espagnol Faire mon devis Cancer du sein et l’emprunt immobilier : la maladie ne définit pas votre futur Risque et santé 24.10.2025 AccueilblogRisque et santéCancer du sein et l’emprunt immobilier : la maladie ne définit pas votre futur Linkedin Facebook Instagram Youtube L’assurance emprunteur après un cancer du sein n’est pas qu’un problème administratif. C’est un enjeu de reconnaissance sociale et de reconstruction psychologique. Octobre Rose nous rappelle que chaque femme remise porte en elle une force remarquable—et qu’elle mérite que cette force soit honorée, y compris par les institutions qui doivent l’accompagner. Sommaire Le poids invisible : la stigmatisation après la guérison Des solutions qui restaurent le pouvoir personnel Message d’Octobre Rose : reconnaître la victoire cachée Le poids invisible : la stigmatisation après la guérison Après un diagnostic de cancer du sein, une femme remise doit non seulement surmonter les traces physiques et émotionnelles de la maladie, mais aussi faire face à ce que les psychologues appellent le « trauma d’après-cancer ». Lorsqu’elle demande un crédit immobilier, elle se voit souvent confrontée à un formulaire qui la ramène brutalement à son diagnostic : « Avez-vous eu une maladie grave ? » Cette question apparemment simple crée une forme de reviviscence traumatique. La femme doit revivre le moment du diagnostic, encore et encore, à chaque institution financière qu’elle contacte. Des études en psychologie clinique montrent que 30 à 40% des femmes ayant eu un cancer du sein rapportent une augmentation significative de l’anxiété lors de leurs démarches d’accès au crédit. Pour les femmes qui ont traversé le cancer, l’accès au crédit représente bien plus que l’acquisition immobilière : c’est un acte d’autonomie. C’est dire « Ma vie ne s’arrête pas ici. Je construis. Je rêve. J’avance. » Chaque démarche administrative surmontée est une affirmation : la maladie a existé, mais elle ne définit pas le futur. C’est la traduction concrète de “reprendre le contrôle sur sa propre vie.” Les recherches en psychologie montrent que cette reprise d’autonomie génère des effets bénéfiques sur l’ensemble du bien-être psychologique. Les femmes qui surmontent ces obstacles rapportent une augmentation de la confiance en soi et une diminution de l’anxiété généralisée. Des solutions qui restaurent le pouvoir personnel Heureusement, des mécanismes existent pour transformer cette épreuve administrative en opportunité de reprise de contrôle : Le droit à l’oubli : se réapproprier son identité Le droit à l’oubli permet de ne pas mentionner un cancer à votre assureur si vous êtes guéri depuis plus de 5 ans, supprimant ainsi toute surprime ou exclusion de garantie au motif de cette maladie. C’est bien plus qu’une simple mesure bureaucratique : c’est une reconnaissance symbolique que votre maladie n’est pas une sentence à perpétuité. Après cinq années de rémission, vous n’êtes plus définie par votre diagnostic. Votre assureur ne pourra pas vous pénaliser pour une bataille que vous avez déjà gagnée. Cette reconnaissance légale est profondément libératrice, car elle affirme que la guérison est réelle et complète. Pour en savoir plus sur ce dispositif essentiel, consultez notre guide détaillé sur la Loi Lemoine, qui a réduit ce délai à 5 ans. La convention AERAS : le droit d’emprunter malgré la maladie La Convention AERAS (S’Assurer et Emprunter avec un Risque Aggravé de Santé) est née d’un accord entre l’État, les professionnels du secteur bancaire et de l’assurance, et les associations représentant les personnes malades et les consommateurs, pour faciliter l’accès à la couverture d’assurance pour les emprunteurs ayant actuellement ou ayant eu une maladie grave. Pour les femmes atteintes d’un cancer du sein, cette convention représente un tournant psychologique crucial. Elle affirme un principe fondamental : même avec une histoire médicale complexe, vous avez le droit d’emprunter et de construire votre avenir. La Convention AERAS prévoit notamment l’étude approfondie et systématique de votre demande d’assurance si vous présentez un risque aggravé de santé, ainsi qu’un ré-examen de votre dossier en plusieurs étapes lorsque celui-ci est refusé. Ce mécanisme fonctionne en trois niveaux d’examen. Au niveau 1, le questionnaire de santé simplifié est parfois même supprimé pour les emprunteurs ayant des crédits inférieurs à 200 000 € et remboursant avant 60 ans, grâce à la loi Lemoine. Au niveau 2, votre dossier est ré-examiné avec un questionnaire plus complet. Et au niveau 3, votre demande passe entre les mains du pool des risques très aggravés de santé, constitué d’un ensemble d’assureurs et de réassureurs. Cette progression d’examens n’est pas une punition, c’est une escalade de soutien. À chaque étape, il y a une nouvelle opportunité de présenter votre profil sous son meilleur jour. La Convention AERAS inclut également une grille de référence listant l’ensemble des maladies qui permettent malgré tout de se rapprocher des conditions standards d’emprunt, certaines pathologies n’entraînant ni surprime ni exclusion de garantie. Pour explorer cette convention en profondeur, découvrez tout ce que vous devez savoir sur la Convention AERAS. La délégation d’assurance : reprendre le contrôle L’accès au crédit n’est pas limité à une seule assurance imposée par votre banque. La Loi Lemoine vous permet de résilier et de déléguer votre assurance emprunteur à tout moment. Cette flexibilité est psychologiquement cruciale : elle vous redonne du pouvoir. Vous ne vous voyez plus dicter les termes par une institution unique. Vous pouvez explorer le marché, comparer les offres, trouver un assureur qui comprend votre situation et ne vous pénalise pas injustement. Cette capacité à choisir transforme une expérience de soumission en expérience d’autodétermination. Vous contrôlez le processus, pas l’inverse. Chez Assurly, trouvez la meilleure assurance emprunteur adaptée à votre situation avec des formalités simplifiées et sans questionnaire de santé pour les éligibles. L’accompagnement professionnalisé : Vous n’êtes pas seule Chez Assurly, on s’occupe de tout gratuitement, y compris la gestion des démarches administratives auprès de votre banque. Cet accompagnement est crucial : il transforme un parcours isolant en parcours accompagné. … Continued
Assurance de prêt immobilier et arrêt maladie
Tout le monde peut être confronté à un problème de santé entraînant une suspension de son activité professionnelle. Pourtant, un arrêt maladie peut devenir un vrai coup dur lorsque la personne concernée doit rembourser un prêt immobilier. Privée de tout ou partie de ses revenus, elle peut avoir de la difficulté à payer ses mensualités.
Remboursement de l’assurance de prêt immobilier
Lorsqu’une personne souscrit un crédit immobilier, l’établissement bancaire lui impose de prendre une assurance emprunteur. Cette dernière représente une part importante du coût total d’un crédit immobilier, parfois jusqu’à un tiers. Elle a pour objectif de couvrir le risque d’invalidité, d’arrêt de travail et de décès, et donc de sécuriser le remboursement des mensualités et du capital.
Surprime d’assurance de prêt immobilier
Lors de la demande d’un prêt immobilier, la souscription d’une assurance emprunteur est l’une des conditions requises par l’établissement de crédit. L’assureur va alors protéger son client face à un ou plusieurs risques. Concrètement, il prend le relais de l’emprunteur en cas d’accident de la vie (invalidité, décès, incapacité…).
Quelles garanties pour une assurance emprunteur ?
Pour financer un projet immobilier, le recours à un crédit immobilier ou à un crédit à la consommation est courant. Une assurance emprunteur y est souvent associée. Il s’agit d’une assurance de prêt immobilier qui garantit la prise en charge partielle ou totale du remboursement du capital restant d’un crédit.
Invalidité catégorie 2 et assurance prêt immobilier
Une assurance de prêt immobilier a pour but de couvrir certains risques, dont celui de l’invalidité. Cette situation concerne une personne qui ne possède plus les capacités physiques et mentales exigées pour la poursuite d’une vie active normale.
Renégocier son assurance de prêt immobilier : conseils et astuces
L'assurance de prêt immobilier est un élément incontournable lors de la souscription d'un crédit immobilier. Mais elle représente également un coût important, pouvant atteindre jusqu'à 30 % du coût total de l'emprunt. Il est donc crucial de bien négocier son contrat d'assurance emprunteur pour bénéficier d'un tarif avantageux et de garanties optimales.
Remboursement d’assurance prêt immobilier : lettre type
Vous avez terminé de rembourser votre emprunt immobilier ? Ou peut-être avez-vous opté pour un remboursement anticipé, un rachat de crédit ou encore une renégociation auprès de votre établissement bancaire ? Bonne nouvelle : vous pourriez récupérer une partie des cotisations de votre assurance emprunteur.
Nouveau partenariat : Assurly x Hayah
C’est LA big news de la semaine ! À l’occasion du Dubaï Fintech Summit qui a lieu les 8 et 9 mai, nous sommes très heureux de vous annoncer notre partenariat international avec Hayah, l’un des pionniers et leaders spécialisé dans l’assurance digitale à Dubaï. / This is THE big news of the week! On the occasion of the Dubai Fintech Summit which takes place on the 8th and 9th of May, we are very pleased to announce our international partnership with Hayah, one of the pioneers and leaders of digital insurance in Dubai.
Assurance emprunteur pour les risques aggravés
Emprunter lorsque son état de santé est fragile peut s’avérer délicat, car les assureurs sont souvent réticents à couvrir une personne présentant des risques aggravés. Pourtant, il serait compliqué, voire même impossible, d’obtenir un crédit immobilier sans assurance de prêt. Toutefois, il existe des solutions pour être assuré, même avec un profil médical complexe. Quels sont les principaux risques aggravés ?
Acceptation assurance prêt immobilier
Si la plupart des investisseurs se lancent dans les projets immobiliers, c’est sûrement dû à leur facilité de financement via un prêt bancaire. Les revenus générés, qu'il s'agisse de loyers ou de plus-values, contribuent de manière variable au remboursement des mensualités. Dans ce cadre, les emprunteurs peuvent se voir obligés de souscrire une assurance afin que les banques leur octroient la somme voulue.
Assurance dégressive de prêt immobilier
L’assurance de prêt immobilier a pour finalité de couvrir les emprunteurs en cas de sinistres susceptibles d’altérer leur capacité à payer. Elle s’articule généralement autour des cinq garanties, à savoir décès, PTIA (Perte totale et irréversible d’autonomie), IPT (Invalidité permanente totale), IPP (Invalidité permanente partielle) et ITT (Incapacité temporaire de travail).
Tableau amortissement excel pour prêt immobilier avec assurance
L’effet de levier du crédit immobilier et la période de la fiscalité avantageuse constituent autant d’avantages d’emprunter pour investir. Le prêt sert à financer l’achat ou la construction d’une résidence principale ou à réaliser un investissement locatif. Un tel choix de financement implique, toutefois, le remboursement des mensualités et la souscription d’une assurance.
Assurance de prêt immobilier pour les diabétiques
Contracter un prêt est une démarche longue et compliquée. Il l'est d'autant plus pour les diabétiques à cause des problématiques d’assurance emprunteur. En effet, comme d’autres pathologies dangereuses, le diabète est considéré par les assureurs comme un risque aggravé pouvant compromettre le remboursement d'un crédit.
Prêt à taux zéro et assurance emprunteur
Le prêt à taux zéro (PTZ) est un dispositif d'aide à l'achat immobilier destiné aux primo-accédants, permettant de financer jusqu'à 40% de l'acquisition d'un logement neuf ou ancien avec travaux. Malgré l'absence d'intérêts, la souscription d'une assurance prêt immobilier est nécessaire pour couvrir l'emprunteur en cas de décès, invalidité ou autres risques.
Refus d’une assurance de prêt immobilier : que faire ?
Une fois que votre établissement bancaire vous a accordé un emprunt immobilier, il vous demandera systématiquement une assurance-crédit immobilier. Celle-ci peut assurer le remboursement du capital restant dû, en fonction des garanties souscrites. Cependant, comme toutes les autres assurances, l’assurance de prêt peut vous être refusée selon plusieurs raisons.
Assurance emprunteur sans questionnaire de santé
Souscrire à une assurance emprunteur pour un crédit immobilier a souvent été associé à un questionnaire de santé détaillé et des examens médicaux. Mais la législation évolue et simplifie désormais les formalités pour les emprunteurs. La loi Lemoine permet dans certains cas de bénéficier d'une assurance sans questionnaire de santé.
Assurance de prêt immobilier et maladie longue durée
Souscrire une assurance de prêt immobilier peut se révéler complexe quand vous souffrez d’une maladie ou Affection de longue durée (ALD). En cause, les assureurs s’avèrent réticents si vous présentez un risque aggravé de santé. Un tel contrat n’est certes pas légalement obligatoire, mais systématiquement demandé par les établissements bancaires en vue de l’octroi d’un crédit.
Assurance prêt immobilier et décès du conjoint
Cela n’arrive pas toujours qu’aux autres. Si vous avez un prêt immobilier en cours et que survient le décès du conjoint, l’assurance emprunteur peut vous aider à rembourser une partie (voire la totalité) du restant de votre crédit. D’où l’importance de bien connaître les modalités de la garantie décès. On vous explique tout.
Budget Noël 2023 : comment gérer ses dépenses ?
Selon une étude CSA, le père Noël devrait se montrer moins généreux que d'habitude lors des prochaines fêtes : en effet, avec un budget Noël cadeau de 332€ en moyenne, la générosité des Français est en baisse. En cause, un contexte économique incertain et une inflation qui ne cesse d'alourdir les dépenses du quotidien.